12 juillet 2015
Lendemain
Toujours rudes, les lendemains d'éveils.
On se redresse en comptant ses membres.
On se lève en découvrant son regard amoindri.
Toujours rudes, les lents demains de veilles.
On n'a juste l'envie de ne plus en avoir....
On est presque surpris de sortir une jambe du lit.
Toujours rudes, l'élan de mains de veilles.
On a les mouvements déconnectés du réel.
On a les yeux figés dans un reste de sommeil.
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