18 avril 2013
Un texte compte double
Aristide de lui dire : « Et tu vas encore te fendre d’un texte ? »
Isidora de lui répondre : « Fendre un texte fait d’office deux morceaux d’écrits, c’est toujours pratique quand on est en panne d’imagination ».
Publicité
Publicité
Commentaires