24 février 2016
La maison qui rasssure
Têtards
fuyants
dans la vase
en miroir.
Reflets
troublés
dans les
eaux marâtres.
Humide
refuge
de nos bottes
boueuses.
Pêche
au vent
soufflant
dans les herbes
hautes.
Des courses
folles
de nos jambes
à nos cous.
Des cabanes
de fortunes
au sommet
du vieux hêtre.
La campagne,
territoire
vastes
encore infini.
Une plaine
de jeux
intenses
et rayonnants.
La mémoire
vivace
des fins
de journées
radieuses.
Un ciel
éteignant
le jour
de son drap
sombre.
Et toujours,
la maison
aux lucarnes
éclairées
qui rassurent.
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